L'anorexie

La jeune femme qui souffre d’'anorexie veut contrôler son corps, son image et sa vie, mais en refusant de s'’alimenter et en niant sa faim, c'’est en effet bien plus que son alimentation qui est en jeu.

Si vous voulez en savoir plus sur l’'anorexie mentale (diagnostique, causes, traitements, etc…) je vous conseille de lire cet article : 

L'anorexie

March 13th, 2014 Sophie Denoyer
Psychologue en ligne - Articles interéssants

L'enfant hyperactif


L'’enfant hyperactif est avant tout un enfant en souffrance dont le mal se cache derrière l’acronyme TDA/H (Trouble du Déficit de l’'Attention/Hyperactivité).
L'’agitation est loin d’être le seul symptôme nécessaire pour affirmer qu'’un enfant souffre d'’hyperactivité. Il est le premier signe à être repéré mais il y a aussi l’impulsivité et l’inattention
Si vous voulez en savoir plus sur ce trouble qui touche, selon différentes enquêtes menées à travers le monde, 5 % des enfants de 6 à 10 ans, n'’hésitez pas à lire cet article : 

Enfant Hyperactif

March 13th, 2014 Sophie Denoyer
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Le baby blues


Le baby blues est une période de tristesse, de doutes et d'anxiété que les femmes traversent malgré le bonheur et la joie que l'arrivée d'un bébé procure dans leur vie.

En effet, rares sont les femmes qui échappent au contrecoup émotionnel et physique de l'accouchement qui se manifeste dans les tous premiers jours qui suivent la naissance. La mère va s’inquiéter pour son bébé,va douter de ses capacités à prendre soin de lui, va pleurer pour un rien, etc...
Il s'agit du baby blues.

Des explications physiologiques
Les bouleversements hormonaux (chute brutale du taux d'hormones qui survient à la suite de l'accouchement, l'augmentation des taux d'ocytocine et de prolactine) jouent un rôle important durant cette période.
De plus, la jeune mère ne se sent pas toujours très à l'aise avec son corps qui a changé et qui peut être douloureux. 
Rajoutons à tout ceci la fatigue.
Il y a donc tous un tas de raisons physiologiques qui peuvent expliquer cette période de tristesse.

Des facteurs psychologiques
Des doutes et des inquiétudes submergent la jeune maman. De nombreuses émotions viennent s'entremêler à ce moment-là.

La grossesse est finie et ceci est la fin d'une aventure psychique et physique très intense, dont il ne reste que ce « ventre vide », que certaines femmes ont beaucoup de mal à accepter. De plus, beaucoup de bras vous s'approprier le nouveau-né.
La jeune maman va ressentir le sentiment d'une responsabilité unique envers cet enfant.
Ainsi, la jeune mère va se mettre à culpabiliser d'être triste alors qu'elle estime qu'elle devrait être heureuse, elle qui s'était imaginé qu'accueillir cet enfant ne serait que joie et bohneur.

Un spleen passager
Dans tous les cas, il est important que la jeune mère ne reste pas seule face à ses inquiétudes et trouve le moyen de s'en libérer.
Le baby blues ne doit pas durer plus de quelques jours. Il s'achève habituellement au moment de la sortie de la maternité, avec le plaisir de rentrer chez soi et de retrouver ses repères.

Dans le cas où la situation perdure, il ne s'agit plus du baby blues.
Il peut y avoir de vraies raisons de se sentir triste et seule : une vie isolée à la campagne, un papa qui travaille beaucoup et n'est pas aussi présent qu'on le souhaiterait.
Cependant, si les troubles sont plus accentués et persistent, consulter devient nécessaire, afin de dépister au plus tôt une éventuelle dépression postnatale.

Si vous voulez en savoir plus n'hésitez pas à lire cet article :
le bably blues

March 13th, 2014 Sophie Denoyer
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La phobie sociale

La phobie sociale se caractérise par la peur extrême, irrationnelle et persistante, ressentie pas une personne au contact d’un milieu social tel qu’il soit. La personne va imaginer les situations redoutées et une fois qu’elle y est confrontée, elle sera sujette à des crises de paniques plus ou moins intenses (stress incontrôlable, sueurs, tremblements…).
Si vous voulez en savoir plus sur cette phobie, n’hésitez pas à lire cet article : 

Decryptage de la phobie sociale

March 13th, 2014 Sophie Denoyer
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Troubles alimentaires

Nous avons parlé de l'adolescence dans l'article précédant.
Et nous avons vu que cette période est une période de grande fragilité où tout un tas de transformations se produisent.

Voici un article qui parle de troubles de l'alimentation chez les jeunes filles.
Ne pouvant s'exprimer avec les mots, c'est le corps qui exprime leurs souffrances par des troubles de l'alimentation.
Si vous voulez en savoir plus sur les origines et les conséquences de ces troubles, n'hésitez pas à lire cet article : 

Corps de femmes en souffrance


February 28th, 2014 Sophie Denoyer
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L'enfant imaginaire et l'enfant reel


Selon le Dictionnaire de Psychologie de Roland Doron et Françoise Parot, l’'enfant imaginaire est l’'enfant à naître sur lequel se focalisent attentes, espoirs, angoisses, fantasmes du groupe familial, en particulier de la part de la mère dont la grossesse ranime ses propres expériences infantiles.

Selon M. Soulé, l'’enfant imaginaire correspond à l’'enfant que l'’on a dans la tête. 
Tout au cours du développement de l’'enfant, ce dernier développe, à l’'intérieur de lui, un enfant imaginaire qui va être façonné par les différentes étapes de son développement. C’est un enfant idéal, parfait. L’'enfant imaginaire est un objet interne précieux. Il s’agit de l’'enfant que l’'on aimerait avoir, la nostalgie de l’'enfant que l’'on a été et qu'’on aurait aimé être. 

Au moment de la naissance de l’'enfant réel une confrontation va s'’opérer avec l’'enfant imaginaire. Le baby blues est un état dépressif qui va durer quelque jour ; il va s’'agir de faire le deuil de l’'enfant imaginaire pour que l'’enfant réel l’'emporte. 

En effet, l'enfant va naître (l’'enfant réel) forcément différent de celui que ses parents avaient imaginé (l’'enfant imaginaire). Au moment de la rencontre entre l’'enfant réel et l’'enfant imaginaire, les parents vont élaborer un processus de deuil de leur enfant idéal qui va leur permettre d'accueillir leur enfant réel et de l'aimer tel qu'il est.

November 8th, 2013 Sophie Denoyer
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L'attachement

Selon le Petit Larousse de la Psychologie dirigé par Michel Guillemot et Bethsabée Blumel, l'attachement désigne autant l'aspect positif du lien qui nous construit que l'aspect négatif de la liaison qui nous retient et c'est dans la sécurité qu'il nous donne que nous trouvons la force d'avancer et de nous en éloigner.

L'attachement est différent de la dépendance qui établit un rapport de domination ou d'assujettissement.
L'enfant grâce à l'attachement acquiert une manière d'aimer qui caractérise son style de développement. Le sentiment ainsi tissé est une émotion provoquée par une représentation. En effet, le sentiment qu'un enfant éprouve en pensant à lui dépend du regard de ses figures d'attachement.

L'absence ou la rupture du lien sécurisant d'attachement entraîne des troubles graves.

Lorsqu'un enfant acquiert les comportements d'attachement qui lui permettent de se sentir en sécurité en présence de sa figure d'attachement (qui peut être la mère mais pas forcément), il va trouver la force de s'en séparer. Ainsi, il va explorer son milieu. La possibilité de se ressourcer au contact de sa figure familière lui permet d'affronter les figures non familières et de lentement les apprivoiser pour ne plus en avoir peur.

November 8th, 2013 Sophie Denoyer
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Le départ des enfants

Normalement, tout enfant, va un jour ou l’autre quitter le nid familial.
Cette étape n’est pas toujours facile pour les parents qui vont devoir s’adapter.
Si vous voulez en savoir plus, je vous conseille de lire cet article :

le départ des enfants

November 8th, 2013 Sophie Denoyer
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