L aquaphobie


L’aquaphobie est la phobie de l’eau. 
Elle fait partie des phobies les plus courantes.
Cette phobie de traduit de diverses manières : pour beaucoup c’est la peur d’avoir la tête immergée sous l’eau, pour d’autres c’est la peur panique de ne plus toucher le sol ou de ne pas flotter.

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L'aquaphobie

July 25th, 2014 Sophie Denoyer
Psychologue en ligne - Phobies

L emetophobie


L’émétophobie est une peur intense, incontrôlable et spécifique au vomissement, qu’il s’agisse de l’acte lui-même ou de situation qui sont susceptibles de le favoriser.
Cette phobie peu connue est portant relativement fréquente.

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la peur de vomir
July 25th, 2014 Sophie Denoyer
Psychologue en ligne - Phobies

L'agoraphobie


L’'agoraphobie ne se résume pas à la peur de la foule qui se nomme l’'ochlophobie.
L’agoraphobie est la phobie des lieux publics ou d’'espaces dont on ne peut s'’échapper ou être secourus facilement en cas de difficultés.

Ainsi, l’'agoraphobie se caractérise par une forte anxiété ressentie lors de ces situations.
Ceci va provoquer un sentiment de panique qui va pousser l'’individu à éviter toute situation qu’il juge « à risque ». Des symptômes physiques vont êtres ressentis comme des vertiges ou perte d’équilibre, des difficultés à respirer, des tremblements, etc…

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L''agoraphobie
ou
Agoraphobie : définition

July 18th, 2014 Sophie Denoyer
Psychologue en ligne - Phobies

L'inconscient

D'après S. Freud, l’inconscient est une « autre scène » où se joue notre existence. 
Il est le lieu du refoulement des pulsions, de nos souvenirs, des désirs qui nous angoissent ou nous font honte. 
L’inconscient nous place face à une vérité dérangeante : des émotions, des fantasmes, des idées que nous ignorons peuvent déterminer notre vie davantage que notre volonté. 

Mais que savons-nous exactement de cette réalité intérieure qui influencerait nos vies ?

L'inconscient, une vieille histoire
L’intuition d’un savoir intérieur caché n’est pas récente. 
Au IVème siècle, les rabbins, auteurs du Talmud, avaient compris que nos songes nous parlent de nos aspirations secrètes et de nos désirs inavouables. 
Du côté des philosophes, Spinoza déplorait que les causes véritables de nos actions nous soient presque toujours cachées. Leibniz, dans ses Nouveaux Essais sur l’entendement humain, émettait l’idée de « petites perceptions inconscientes » influençant notre pensée.  
Ensuite, Schopenhauer dans Le Monde comme volonté et comme représentation, imagine des forces inconscientes qui régiraient à la fois les hommes et l’univers. 
Nietzsche, quant à lui, a l’intuition d’un soi invisible qui est le guide qu’il nous faut écouter, car le conscient est un « état personnel imparfait ». 
C'est ensuite aux médecins de s’en emparer en soignant les malades mentaux par l’hypnose.
En 1889, Freud observe son confrère Hippolyte Bernheim qui traite par cette méthode ses patients névrosés.
Pour désigner cet autre moi qui coexiste avec la personnalité consciente, le psychologue Pierre Janet invente le terme de « subconscient » en 1889 dans son ouvrage L’Automatisme psychologique. Il pensait que cette part inconsciente était un état pathologique.
Seul Freud comprend que nous possédons tous un inconscient.

Une invention freudienne
Freud nous propose une vision révolutionnaire de l’âme humaine.  Il innove en inventant un inconscient qui parle, se déchiffre et guérit, un inconscient peuplé de désirs sexuels, agressifs, mégalomanes, inavouables, de pulsions de vie et de mort, et qui possède des lois internes
Toutes les techniques actuelles d’exploration du psychisme ont une dette envers lui, rappelle le neuropsychiatre Boris Cyrulnik dans son livre De chair et d’âme.


Qu'est ce que l'inconscient ?

Il ne nous veut ni bien ni mal. 

Nous en possédons un parce que notre moi refuse de laisser pénétrer dans la sphère consciente tout élément susceptible de nous heurter, de nous faire peur, etc...  C'est ce que nous refoulons.  Mais les pensées et désirs refoulés dans l’inconscient profitent des failles de la conscience – un moment de fatigue, le sommeil… – pour s’exprimer sous la forme de rêves, de lapsus, d’actes manqués. 

Pour les psychanalystes qui se réclament de Freud, nous ne naissons pas dotés d’un inconscient. Très tôt, les expériences agréables ou déplaisantes laissent des traces mnésiques (de mémoire) dans le cerveau. Mais l’inconscient n’apparaît qu’avec l’acquisition du langage. Et les premiers désirs refoulés sont liés aux élans incestueux oedipiens auxquels nous devons renoncer pour grandir.

A l’inverse, pour Jung, l'inconscient est présent dès notre naissance. Et à côté de l’inconscient individuel se tient, un inconscient collectif qui nous relie à nos ancêtres ou aux héros des grands mythes fondateurs de la civilisation.


Nous sommes responsable de  notre inconscient 

Pour de nombreux penseurs, en particulier Jean-Paul Sartre, l’idée d’un inconscient n’est qu’un prétexte pour démissionner en tant qu’humain responsable. C’est le refuge de la mauvaise foi et de la lâcheté.
Mais, en réalité, Freud nous invite à rendre l’inconscient le plus conscient possible. Pour son héritier, le psychanalyste Jacques Lacannous sommes responsables de lui. Nous avons à en répondre, ce qui signifie que nous devons connaître et affronter nos pensées et nos fantasmes inavouables, même si cela nous coûte moralement. C’est tout l’objet de la cure analytique.

Les avancées des neurosciences
Les avancées des neurosciences confirment les intuitions de Freud sur la réalité de l’inconscient, assure Boris Cyrulnik.
Loin d’enterrer Freud, de nombreux neurobiologistes tels Jean-Pol Tassin, ou neurologues tels Lionel Naccache, auteur du Nouvel Inconscient vérifient ses hypothèses depuis plusieurs décennies. 
Il n’existe pas de siège central de l’inconscient. Mais trois zones cérébrales sont impliquées dans les processus inconscients : les structures limbiques (le royaume des émotions et de la sensibilité affective), les zones associatives du cortex (où se créent les liens entre les idées, les mots et les choses), et les aires sensorielles. 
De plus, le développement de la neuropsychologie permet de mieux comprendre pourquoi nos conflits psychiques se traduisent si fréquemment par des maladies psychosomatiques. En effet, le cerveau traite les mots exactement comme les sensations physiques.

Un inconscient du corps
Les recherches actuelles le montrent : l’inconscient, ce n’est pas seulement « dans la tête », c’est toute une organisation psychocorporelle. 
Depuis la fin des années 1980, les neurobiologistes se penchent sur un deuxième inconscient, « cognitif ».  il s’agit d’une mémoire purement corporelle, sans souvenirs, sans désirs secrets ni pensées honteuses, comme le décrit Boris Cyrulnik.

Ainsi, si nous voulons vraiment comprendre nos émotions, nos vrais désirs, sortir de la spirale infernale de l’échec et nous épanouir, il est urgent d’accepter d’écouter notre inconscient.

Pour en savoir plus : L'inconscient

May 16th, 2014 Sophie Denoyer
Psychologue en ligne - Articles interéssants

La psychothérapie analytique


La psychothérapie analytique permet d'apporter une aide focalisée sur certains conflits. Basée sur l'interprétation verbale proposée par le patient, elle vise à l'explicitation des conduites et des affects avec pour but, la disparition des conflits. 

La cure, moins longue qu'en analyse, se termine quand le patient a acquis une meilleure maîtrise de lui-même.

Histoire
La méthode psychanalytique a été découverte et théorisée par Freud au début du XXème siècle.
Puis, elle a été développée et approfondie par de nombreux psychanalystes.

Principes
Selon la psychanalyse, le psychisme fonctionnerait sur la base des conflits liés au développement de la personne
En effet, pour chaque individu, les expériences de l'enfance s'inscrivent dans l'inconscient.
Les relations parents/enfants, le vécu individuel des expériences de l'enfance et de l'adolescence, le développement psychologique et sexuel, etc... sont toujours plus ou moins conflictuels.
Ces événements laissent des traces profondes, en partie inconscientes, qui conditionnent l'équilibre psychique.

Ainsi, les difficultés psychologiques que rencontrent une personne au cours de sa vie sont en lien avec son passé.
La psychanalyse a pour but de faire revenir au niveau conscient les conflits et traumatismes enfouis dans l'inconscient.
Ces épisodes ont été « refoulés » mais ils restent actifs et ressortent sous forme de symptômes.

En parlant du passé et du présent, la psychanalyse permet de mieux comprendre les sentiments conflictuels qui y sont liés, de leur donner un sens nouveau et d'éviter qu'ils ne se répètent dans la vie actuelle sous forme de symptômes.

Déroulement
La psychothérapie psychanalytique est une technique de psychothérapie fondée sur l'utilisation de la parole.

Elle s'entreprend sur une durée plus courte qu'une psychanalyse classique avec une fréquence de séances moins importante (une ou deux par semaine), qui ont lieu le plus souvent, en face à face.

En général le psychologue d'orientation analytique intervient plus.
Il aide la personne à parler et à comprendre les situations au sein desquelles elle est en difficulté.
Il l'accompagne dans l'analyse des situations passées, de ses difficultés relationnelles, etc...
Il communique ce qu'il a compris de la signification inconsciente des paroles ou des conduites : c'est une interprétation.
Ces interprétations doivent aider la personne à prendre conscience de l'origine de ses symptômes, de son mal-être, etc...
Le conflit, rendu plus conscient, mieux compris sous différents aspects et intégré à la vie de la personne, s'atténue et devient progressivement moins gênant.


Si vous voulez en savoir plus : 
La psychothérapie analytique : mode d'emploi

May 9th, 2014 Sophie Denoyer
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Vouloir que tout le monde nous aime

Certaines personnes ressentent le besoin d’être aimées de tous.
Si vous voulez savoir d’où vient ce besoin et ce qu’il faut faire, n’hésitez pas à lire cet article :

Je veux que tout le monde m'aime

May 9th, 2014 Sophie Denoyer
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La crise du milieu de la vie


Cette crise surgit entre 45 et 55 ans. Elle éclate le plus souvent à la faveur d’un facteur déclenchant qui signe un tournant. Ce choc fait dérailler tout un régime d’habitude et conduit à faire un bilan.
Bien qu’elle éclate à la maturité, c’est dans l’enfance que cette crise prend racine. La transition de milieu de vie correspond ainsi à un moment aigu du « processus d’individuation » : il s’agit de nous accomplir dans l’essence de notre être. 

Si vous voulez en savoir un peu plus sur cette crise du milieu de la vie, sur comment l’accueillir et la dépasser, je vous conseille de lire cet article :


 
May 9th, 2014 Sophie Denoyer
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La crise de couple

Voici un article intéressant donnant quelques explications et conseils afin de faire face aux crises qui peuvent rencontrer les couples : 

La crise de couple

May 9th, 2014 Sophie Denoyer
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