Psychologue en ligne

Vivre en coupe sans se disputer c’est possible !

Selon la psychanalyste Fabienne Kraemer, dans une relation de couple, les disputes ne sont pas obligatoires.

Le problème des disputes, c’est leur côté délétère. En effet, des disputes répétées amènent à considérer l’autre comme son ennemi.

Pourquoi attendre d’être au stade de l’abcès à percer pour dire les choses ? Mieux vaudrait apprendre à dire les choses autrement car au cours des disputes nous devenons vite blessant. 

La dispute est un engrenage. Ainsi, c’est souvent à la personne que l’on aime le plus que l’on parle le plus mal et à qui l’on manque le plus de respect. 

Sauf que la violence verbale, physique ou psychologique tue le couple… 

Si vous voulez en savoir plus, je vous conseille de lire les explications de la psychanalyste Fabienne Kraemer

La boulimie est un trouble du comportement alimentaire qui touche essentiellement les femmes. Les personnes boulimiques compensent leurs souffrances et le vide en elles par les aliments. Une fois « remplies », elles ne trouvent plus qu’un seul moyen de se libérer : vomir.

La manifestation la plus évidente de la boulimie est la crise alimentaire, ce besoin irrépressible de manger beaucoup et en un temps restreint. La personne boulimique perd le contrôle d’elle-même jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus avaler quoi que ce soit de plus. Alors survient, « l'état de conscience » où la jeune femme va cesser de manger et se retrouver face à son « champs de bataille ». Se sentant honteuse et coupable, elle va se faire vomir, se libérant physiquement et psychologiquement de la crise. Et c’est ce qu’elle va faire, jour après jour. Parfois même à raison de plusieurs crises dans une même journée. 

Si vous voulez en savoir plus sur ce trouble alimentaire (causes, prises en charge thérapeutiques), je vous conseille de lire cet article : 

Ils posent une colle à leurs parents : comment les guider sans les étouffer, les préparer à l’envol sans les laisser tomber ?

Depuis peu, le harcèlement en milieu scolaire ou bullying commence à mobiliser le grand public.

Le harcèlement repose sur l’émergence simultanée de 3 critères : 

- la conduite doit être intentionnellement agressive,

- cela doit se répéter régulièrement,

- cela doit induire une relation de dominant/dominé.

Si vous voulez en savoir plus (comment s'amorce une situation de harcèlement entre deux enfants, les profils d’enfants harcelés et harceleurs, les différentes manifestations du harcèlement, le harcèlement dyadique ou collectif, les répercutions psychologiques, etc…), je vous conseille de lire l’entretien avec Nicole Catheline, paru dans le journal Le Cercle Psy.

La théorie de l’attachement est née en 1958. Elle illustre cette subtilité de nos comportements qui va permettre à l’individu d’utiliser les autres pour prendre son propre envol, s’aider du connu pour s’ouvrir à l’inconnu, s’appuyer sur le passé pour embrasser l'avenir.

J. Bowlby suggère que l’attachement aux parents sert deux fonctions adaptatives : la protection et la socialisation.

S'il a pu faire l'expérience d'une certaine sécurité dans la relation avec ses parents (comme la certitude que la relation va persister au-delà de la séparation), l'enfant se sentira plus libre de partir découvrir le monde physique et social, explorer et établir de nouvelles relations. 

Mary Ainsworth, a décrit le fonctionnement de cette « base de sécurité » fournie par les parents à l'aide d'une situation d'observation : la « situation étrange ».

Si vous voulez en savoir plus sur les différents styles d’attachement (attachement sécurisé, anxieux-évitant, anxieux-résistant, désorganisé), sur les implications sur le devenir de l’enfant, sur l’importance du lieu d’accueil pour les jeunes enfants, etc…, je vous conseille de lire cet article :
Experience de Mary Ainsworth 

Source : Sciences humaines : Hors-série (ancienne formule) n°45 - Juin-Juillet-Août 2004, L'enfant

Le « bon » stress correspond à la poussée de réaction qui nous permet de faire face à une situation inhabituelle d’inconfort ou de danger. C’est également le stimulant qui permet de se dépasser également appelé stress positif. Une fois le moment clé passé, le degré de stress revient à la normale.

Le « mauvais » stress ou stress chronique est le plus répandu. Au quotidien, il est source de diverses problématiques d’ordre physique, psychologique et comportemental .

Ces deux types de stress ont pour causes les mêmes origines ou facteurs. Ce qui les différencie, c’est l’intensité et la fréquence.

Si vous voulez en savoir plus : 

En cause ? Le stress chronique que nous sommes nombreux à subir au travail. 

Le burn-out « est un processus, et non un état », précise la psychologue. Processus qui peut d’ailleurs avoir différents degrés de gravité.  

Si vous voulez savoir comme le reconnaître et s’en prémunir, je vous suggère de lire cet article :